Toxiques pour tout le vivant, utilisés sur 80% des terres agricoles, les pesticides SDHIs Inhibent une enzyme : la Succinate DésHydrogénase
Les SDHIs sont reconnus comme hautement toxiques
Il faut s’équiper comme des cosmonautes pour les utiliser
Mais les SDHIs sont répandus généreusement dans la nature
Pour certains un contact direct entraîne la mort (vers de terre, poissons)
Une imprégnation lente cause la mort des abeilles et des tumeurs chez les rongeurs
On en retrouve dans la nourriture, les boissons et les cheveux
Mais le marché financier des SDHIs est florissant et en pleine expansion
SDHIs : Questions Réponses
ANSES : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail
Au laboratoire… et en magasin
J’empoisonne… et je soigne
La chronologie factuelle depuis le lancement de l’alerte, dans un premier temps aux autorités sanitaires (ANSES ; Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail), puis, devant leur inertie, dans la presse nationale (journal Libération)
L’accès à une partie des documents générés par l’ANSES concernant les SDHIs et les réponses circonstanciées apportées lorsque la nécessité nous est apparue de le faire
Vous trouverez-ici des références aux questions concernant les SDHIs soulevées par des élu(e)s suite à notre alerte, les réponses des autorités ainsi qu’une mention des réunions auxquelles nous avons été amené(e)s à participer à propos des SDHIs
Une brève présentation du mécanisme par lequel les SDHIs agissent et la raison de leur toxicité pour tout le monde vivant
Les données scientifiques, sous forme de liens ou directement d’articles, rapportant les conséquences d’une inhibition de la SDH chez l’homme, chez l’animal et illustrant le danger représenté par les pesticides mitochondriotoxiques du type SDHIs
Une rubrique faisant référence aux quelques échos reçus de l’étranger concernant l’usage des SDHIs
SDHIs, et autres Pesticides : AGIR !
DENONCER les insuffisances de la législation;
SOUTENIR LES VICTIMES et mener des actions citoyennes; SURVEILLER ET CRITIQUER les conditions de mise sur le marché des pesticides;
SENSIBILISER LE GRAND PUBLIC et promouvoir les alternatives;
PUBLIER DES RAPPORTS d’expertise et d’analyses scientifiques indépendants
A l’INTERNATIONAL, l’AWS
L’Alliance des Scientifiques du Monde face à la crise climatique et environnementale
Pollinis se bat pour l’interdiction des pesticides « tueurs d’abeilles » et pour une agriculture respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. L’association travaille à restaurer un environnement riche et sain pour les pollinisateurs sauvages, et agit pour sauver les abeilles à miel locales dans les milieux naturels où elles ont évolué depuis des millénaires. Pollinis a lancé plusieurs pétitions pour faire cesser le scandale des SDHIs, à vous de signer !
Organisation pour la préservation de l’environnement
Un groupe de bénévoles sans argent, composé d’une quinzaine de personnes, avec à leur tête le journaliste Fabrice Nicolino, saisis de l’urgence de la situation désastreuse entrainée par l’emploi des pesticides, qui organise tous les 1° vendredi du mois devant les mairies des rassemblements et a lancé un appel national que l’on vous invite à signer instamment pour faire cesser cette folie des pesticides
La campagne Stop Écocide a été fondée en 2017 par la regrettée Polly Higgins, avocate britannique visionnaire, et Jojo Mehta, militante pour l’environnement. Notre mission consiste à faire reconnaître l’écocide en tant que crime international afin d’interdire et d’empêcher que la destruction de la vie sur Terre se poursuive. Nous sommes la seule campagne au monde à poursuivre exclusivement cet objectif.
Notre ONG, la Fondation Stop Ecocide est basée aux Pays-Bas et a le statut d’organisation caritative (ANBI).
Les scientifiques à l’origine de l’appel concernant les dangers représentés par les SDHIs (paru en Avril 2018 dans le journal Libération), Paule Bénit, PhD (Ingénieure de Recherches IR1 INSERM ; Institut national pour la santé et la recherche médicale) et Pierre Rustin, PhD (Directeur de Recherches CE Emérite au CNRS ; Centre National de la Recherche Scientifique), membres de l’Equipe Physiopathologie et Thérapie des Maladies Mitochondriales, de l’Unité Mixte de Recherches INSERM UMR 1141 (localisée à l’hôpital Robert Debré dans le XIX° arrondissement à Paris), dirigée par Pierre Gressens, directeur de recherche à l’INSERM et professeur de neurologie fœtale et néonatale au King’s College à Londres
Membres du CNRS (Malgorzata Rak, PhD, Chargée de Recherches CR1, UMR 1141), de l’INSERM (Judith Favier, PhD, Directrice de Recherches DR2, UMR970 Cancérologie, Hôpital Européen Georges-Pompidou ; Dominique Chrétien, PhD, Ingénieur de Recherches IR2, UMR 1141) ; de l’AP-HP (Assistance Publique – Hôpitaux de Paris ; Anne-Paule Gimenez-Roqueplo, MD, PhD, Professeure, Cancérologie, Hôpital Européen Georges-Pompidou ; UMR970 ; Manuel Schiff, MD, PhD, Maître de Conférence des Universités, Praticien Hospitalier ; UMR 1141) se sont joints parmi d’autres à l’appel initial soulignant les dangers d’utiliser des SDHIs et demandant la suspension de leur utilisation en application du principe de précaution
Nous remercions David Pavlowsky pour son aide dans la réalisation du site, Jorge Gallego pour ses relectures, Jürgen-Christoph von Kleist-Retzow, Malgorzata Rak, Céline Xiang Li, Alessia Catania, Amazigh Mokhtari, et Robert Lightowlers pour les traductions, Nicole Pavlowsky pour ses dessins et Jackie Duret pour ses photos